Alors? Il a quel goût, cette année, le Bojo Nouvo?
Ce qui est certain, c'est qu'à Vauxrenard, il ne sent pas le renard! Il n'a d'ailleurs pas non plus le goût de Bojo Nouvo, qu'il soit "Brut de cuve" aux Côtes de la Molière, ou "Pur Jus" chez Michel Guignier. Idem à Cambon, chez Marcel Lapierre, pour qui Siné s'est fendu d'une étiquette originale. Trois Beaujolais nouveaux différents, non standardisés, qui ont en commun l'amour du raisin et du travail bien fait.
Du Beaujolais de vigneron, du vin bourré de raisin, croquant et gourmand, sans le moindre arôme levurien artificiel fermentaire. Du vin rond et charnu, qu'on a envie de boire, dans le seul but de se faire plaisir.
Commentaires
J'en ai aussi du bojo côte de la Molière (merci Isabelle!). Na na na!
Promis, je ne l'ouvre que jeudi...
Putaingue: il a eu la primeur du primeur
Tu dois absolument essayer de goûter le Descombes et le Ducroux, le premier on en boirait des louches et le second à en plus d'une réelle gourmandise, la matière, la structure et la complexité pour être gardé quelques mois sans problèmes. Par contre j'aurais adoré goûter les vins d'Isabelle, ce sera pour une prochaine fois j'espère.
Ca augure d'un millésime superbe
En attendant BON BOJO NOVO!
Tiens, goûté le Foillard hier soir: tendu, farouche et vrai