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  • Stop stupid crushing of organic land!

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    ©Florence Kennel


     

    When she rides bike over the vineyards of Gevrey, Florence Kennel, a french wine journalist, does not have the nose into the grindstone. She knows how to enjoy the sights and take offense at the upheaval of land. Because that is what it is, when a backhoe is peeling the ground, crushing the bedrock and change permanently the capacity of the basement to express its natural characteristics. The debate is obviously open, contradictory and warm,  objectively transcribed on his blog by Laurent Gotti, journalist in Bourgogne aujourd'hui, and based on the statements of the various protagonists. If Gevrey-Chambertin Bel Air from Domaine de la Vougeraie, show-window and group Boisset‘s biodynamic good conscience, is a wine usually "thin and lacking body," said Pierre Vincent, manager of the estate, it’s the fault in the basement, unable to let the vine settle properly. "Wrong!" answer Claude and Lydia Bourguignon, reputed biologists in the world. "The problem come from the plant." Also according to them, if this land has been classified historically first thought, it is unthinkable not to be able to produce a wine worthy of the name. Now that the damage is done through a more frequent and devastating practice, it only remains to hope that the results are better than expected, because no way back is possible. Unless you use an “uncrushing machine”? This uncertain and doubtful practice, therefore, raises big questions, just when the “Climats de Bourgogne” seek their inclusion in the UNESCO World Heritage. How, in the region that revels in its soils, the man can reshape the ground without betraying it? And on what grounds? I imagine without difficulty that the Cistercian monks must be turning in their graves!

     


    And some guys still don't want to incorporate human intervention in the fundamental concept that links the wine in the place where it is produced ...


     

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    During that time, Olivier Cousin
    , who does not militate for the classification of its soil from Loire in the heritage of UNESCO, continues to plow with horse and his wines are refused to AOC  ...

     

     

     

    Olif

     

  • Non aux bioconcasseurs!

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    ©Florence Kennel


    Quand elle se balade en vélo au dessus des vignes de Gevrey, Florence Kennel n'a pas le nez dans le guidon. Elle sait admirer les paysages et s'offusquer des chamboulements de terroir. Car c'est bien de cela qu'il s'agit, quand une pelleteuse vient peler le sol, concasser la roche-mère et modifier de façon définitive les capacités du sous-sol à exprimer ses caractéristiques naturelles. Le débat est évidemment ouvert, contradictoire et musclé, repris de manière objective par Laurent Gotti, de Bourgogne aujourd'hui, en s'appuyant sur les déclarations des différents protagonistes. Si le Gevrey-Chambertin Bel Air du domaine de la Vougeraie, vitrine et bonne conscience biodynamique du groupe Boisset, est un vin généralement "maigre et manquant de corps", selon Pierre Vincent, régisseur du domaine, cela serait la faute au sous-sol, incapable de laisser la vigne s'implanter correctement. "Faux" rétorquent Claude et Lydia Bourguignon: "Le problème vient du végétal". Toujours d'après eux, si ce terroir a été classé de tout temps en premier cru, il est impensable de ne pas pouvoir y produire un vin digne de ce nom. Maintenant que les dégats sont faits, par le biais d'une pratique dévastatrice qui tend, paraît-il, à se généraliser, il ne reste plus qu'à espérer que les résultats soient à la hauteur des espérances, car aucun retour en arrière n'est possible. À moins d'avoir recours désormais à un déconcasseur? Cette pratique, incertaine et douteuse, suscite donc de grosses interrogations, à l'heure même où les Climats de Bourgogne sollicitent leur inscription au patrimoine de l'humanité, au titre d'héritage historique exceptionnel. Jusqu'à quel point, dans la région par excellence qui se gargarise de ses terroirs, l'homme peut-il remodeler le sol sans le trahir? Et sur quels arguments? J'imagine sans peine que les moines cisterciens doivent se retourner dans leur tombe!

    Et dire que certains persistent à ne pas vouloir intégrer l'intervention humaine dans cette notion fondamentale qui lie le vin au lieu où il est produit...

     

    Pendant ce temps-là, Olivier Cousin, qui ne milite pas pour le classement de son terroir angevin au patrimoine de l'UNESCO, continue de labourer à cheval et de voir refuser ses vins à l'AOC...

     

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    Olif