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2001

  • Comme son nom ne l'indique pas...

     

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    Côtes du Ventoux, Domaine de Fondrèche, Cuvée Persia 2001

    Pas rèche pour un sou, avec beaucoup de fond, des arômes envoûtants de truffe et de cacao, bien enrobés par des notes kirschées, sans aucune effluve végétale de persil, ah? 80% syrah, 20% grenache, ce petit trésor millésimé 2001 dormait en cave depuis de longues années. Il a fini par être bu plutôt que tout vendu sur la Côte. Côtes du Ventoux, c'était encore d'époque, Domaine Fondrèche, cuvée Persia 2001. Comment que c'est bon, dis! J'ai bu du Châteauneuf bien pire! Je sais que ce n'est pas bien de comparer, ce n'est pas la même aura ni le même prix non plus. Décidément, le Géant... Quitte à choisir!

     

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    Olif

  • Quand je pense à Fernandol...

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    Ces trois-là ont fait la farandole sur ma balustrade au cœur de l'été. 2001, un millésime de choix dans l'appellation, pour les vieux garçons maniaques! Servis l'un derrière l'autre, les mains dans les poches, dans un ordre non aléatoire, autour d'une côte de bœuf à la plancha.

    D'abord une Tour du Bon flatteuse, majoritaire Mourvèdre (58%), complétée par Grenache (28%) et Cinsault (14%), élevage 18 mois en foudre. Bizarre, cette petite touche vanillée, alors? La capote? Mais c'est bon quand même, peut-être un peu facile, non?

    Pibarnon, c'est top classe élégance, il faut bien le reconnaitre. Fin, précis, long, en érection perpétuelle. Madame n'a même pas besoin d'en redemander, elle se sert toute seule!

    Tempier cuvée spéciale, c'est un cran de la ceinture légèrement au-dessus. Ou en dessous, selon comme on voit les choses. Le bénouze est sous tension permanente. Le palais aussi. Il faut reconnaitre qu'il ira loin, ce petit. Quelque chose de spécial, dans cette cuvée, probablement! Mieux vaut encore attendre les autres bouteilles, pour une jouissance plus complète.

    Voilà largement de quoi agrémenter sa solitude, en plein creux estival.

    Prochaine session, les mêmes en 2004? On en prendrait volontiers l'habitude, comme dit la chanson!

    Si en plus, c'est Carla qui la chante...

     




    Olif

    P.S.: pour éviter un peu de travail de recherche à Laurentg, il n'y a qu'à cliquer . Une bien belle dégustation, ma foi!

    P.S.2: il parait que je n'ai pas ma langue dans ma poche! Si certains veulent le vérifier, c'est ici!
  • Le Bourgogne comme on l'aime!

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    Bourgogne blanc 2001, Rémi Jobard

    31 décembre 2008. Il pleut des seaux sur Pontarlier. Pas trop de souci pour le tapis neigeux d'altitude, qui devrait résister au grand nettoyage de fin d'année. Derniers préparatifs pour le réveillon de la Saint-Sylvestre et plop pour l'apéritif du midi, histoire de se requinquer le moral devant toute cette eau dégoulinante: un nez grillé et toasté, d’une grande finesse, de la viennoiserie raffinée pour un beau Chardonnay à point, qui possède une bouche droite, acidulée, fraiche et persistante. Le Bourgogne comme on l’aime, la Bourgogne comme on l’aime aussi. Une filiation évidente avec les épatants Meursault de Jean-François Coche-Dury. Un vin qui mérite largement un « Bravo Rémi ! », un effort de notation suffisamment rare venant de moi, méritant également d'être souligné!

    Que l'année 2009 vous soit aussi bonne que ne l'est ce bon vin de Bourgogne!

    Santé!

    Olif

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